LES DROITS A TAMAZGHA
Communiquer est un art, dire la vérité est un devoir. Le peuple pour le pouvoir est un sujet d'objet indirect qui est en liberté grace à lui, donc redevable à vie. A cet effet, le peuple ne possède pas des droits, mais des devoirs de soumission . Le peuple n'a pas le droit à la vérité, n'a pas le droit à la richesse de son pays, n'a pas le droit à une justice de droit, n'a pas le droit à la liberté d'expression , n'a pas le droit à une bonne éducation , n'a pas le droit au travail, n'a pas le droit à des soins de qualité , n'a pas le droit à une bonne retraite, n'a pas le droit à la sécurité , n'a pas le droit de mourir en paix, n'a pas le droit de demander des comptes, n'a pas le droit d'avoir une vraie représentation parlementaire, un vrai sénat , un vrai président comme LULA et tous ceux qui respectent leur peuple, une démocratie à la hauteur des événements de novembre et d'octobre , le droit au respect et à el karama, le droit au bonheur, le droit à la joie, le droit à la fête , le droit à la reconnaissance et à l'écriture de son histoire, le droit à la protection, le droit à l'écoute , le droit au partage, le droit au droit.
Le peuple est redevable d'avoir accepter la soumission et de renoncer à son indépendance et à la démocratie. Le pouvoir a tous les droits sur la richesse, le droit de ne pas avoir de devoirs, le droit d'emprisonner la justice, le droit de torturer le militantisme et l'amour , le droit de manipuler, de soustraire, de multiplier, de diviser, le droit de gommer, de déchirer , d'interdire , le droit d'imposer un silence sur les assassinats, le génocide . Le pouvoir a le droit sur le vie ou la mort d' un peuple sans défense . L'Algerie est un pays avec un peuple sans droits et un pouvoir sans devoirs.
Par Demos